Efterklang: le parfait équilibre !

Tout me plaît chez eux ! Leur nom de groupe qu'on ne sait trop comment prononcer, le fait qu'ils sont danois (essayez de me nommer au moins 3 groupes danois...pas facile hein), le look et la moustache du chanteur...et ce n'est que la pointe de l'iceberg.

Efterklang - "Modern Drift" // A Stereotype Show from Stereotype Helsinki on Vimeo.

Car en dessous de ces choses plaisantes à regarder, se cache une musique complexe qui te fait grossir le coeur jusqu'à en exploser et des paroles qui s'envolent...rien de trop lourd, des images, du son, du vent....quelque chose qui plane et que tu capte au passage.

Efterklang s'écoute partout et s'applique à tout...du baume sur les plaies de l'amoureux solitaire vacillant dans les rues glacées de Montréal, jusqu'à la trame de fond d'une nuit passionnelle.

Bientôt à Montréal (et dans le monde entier), vous pourrez assister gratuitement à un film sur ce groupe, réalisé par nul autre que Vincent Moon (Mathieu, ce célèbre français reconnu pour les "Take away shows" et "Fiume Night"). En voici justement la bande annonce:

Sur ce, bonne découverte !

-Marty-

Bright Eyes - "Haile Selassie"

Timber Timbre - juste pour teaser

The Braids Effect !

La vie est si courte. Question de vivre sans remords, j'espère que vous possédez déjà votre billet pour le lancement du nouvel album de Braids qui se déroulera à la Sala Rossa ce soir... si c'est pas le cas... je vous conseille de mettre votre "suit" de ski-doo, de braver le froid, et d'essayer d'attraper quelqu'un qui vend son billet parce que vous risquez de rater le show de l'année !

Vous croyez que j'exagère...que le Nightlife exagère, que Pitchfork exagère et que Braids n'est qu'un feu de paille ?!?!? Pauvres fous, vous n'avez donc jamais été amoureux, jamais eu envie de balancer la vie au bout de vos bras, de passer la nuit dans une ruelle sombre d'Amsterdam, de trouver le chaudron rempli d'or au pied de l'arc-en-ciel ou de donner la réplique à Bill Murray dans le plus récent film de Wes Anderson ? Comme le disait ma prof d'art dramatique: "Est-ce que tu sens le HUMPF là Sébastien" ? C'est ça Braids, c'est le Humpf....qui te donne envie de crier ton amour !

À ce soir ?

-Marty-

Coachella se met en branle !

Comme vous le savez peut-être déjà, j'aurai la chance, en avril prochain, de réaliser un rêve que je chérie depuis déjà quelques années....COACHELLA BABY ! L'enthousiasme est au rendez-vous...et davantage depuis minuit 5 minutes ce matin alors que Pitchfork nous révélait (bizarrement avant même le site de Coachella) le Lineup de cette édition 2011.

C'est ainsi que je me propose pour vous donner un avant-goût de ce lineup relevé. Pour les 3 prochaines semaines, je le décortiquerai jour par jour, pour vous faire part des nouveaux artistes découverts (ceux que j'écarte du revers de la main, comme ceux qui me permettront de crier au génie), tout comme des artistes établis qui n'ont plus besoin de présentation... des billets ultra-subjectifs....qui vous donneront une idée plus précise de ce à quoi ressemblera MON Coachella.

D'ici là, à vous d'étudier le Lineup et d'y aller de vos premières suggestions sur quoi voir....je suis loin de tout connaître !

- Marty -

Klô Pelgag - comme des rames

KLO PELGAG - Comme Des Rames from Productions Babel on Vimeo.

Badfinger - Come And Get It

Écrite et offerte aux Badfinger par Paul McCartney. Enregistrée en 1969 pour le film The Magic Christian.

Destroyer - "Kaputt"

Kaputt, neuvième album de Destroyer, sortira le 25 janvier via Merge Records.

Future Islands - Baltimore frappe encore

Premier billet de 2011

Bill est toujours vivant !
Après une bonne petite dose de temps des fêtes et 10 jours en Espagne, il est temps de se remettre au travail…la prochaine année s’annonce haute en couleurs, en découvertes, en taches de vin sur la nappe, et surtout en « Hé calvaire c’est intense ça !»
Mon premier hit est en fait de 2010, une découverte par l’entremise du blogue de Sophie. Future Islands est issue de Baltimore, la ville qui frappe sans arrêt, qui bourdonne la new-wave, post-wave, whatever-wave que vous voudrez, mais cette ville-là m’allume chaque année…pensez-y, les Animal Collective y proviennent, le disjoncté Dan Deacon aussi, sans oublier les géants de 2010 Beach House !

Le trio martèle d’un rythme constant les 9 titres d’In Evening Air, avec une pop fragile, simple et dangereusement puissante. On aime y retrouver la voix caverneuse d’un Ian Curtis ou éraillée d’un Tom Waits.

Honnêtement, j’écoute en boucle!

À vous de vous laisser charmer...tout l'album vaut le coup

Tin Man